Activité exercée essentiellement dans le domaine du droit pénal et notamment du droit pénal des affaires, droit pénal économique, mais aussi dans le domaine du droit de la communication et plus particulièrement du droit de la presse et de l’édition. Il intervient également dans les contentieux civils et commerciaux importants, souvent à dimension internationale, ainsi qu’en matière de successions. Enfin, il a développé une activité de conseil auprès de différents Etats, ONG et institutions internationales.
Il plaide devant de nombreuses juridictions ordinaires (Cours d’Assises, Tribunaux correctionnels, Tribunaux de grande instance, Cour d’Appel), mais aussi devant les autorités administratives (AMF). Il assiste ses clients tant en France, qu’à l’étranger (Pays d’Afrique-francophone, Union européenne, notamment).
 
Avocat médiatique, grand défenseur des Droits de l’Homme, William Bourdon sillonne le monde au nom de son association Sherpa, tournée vers la notion de responsabilité sociale des entreprises. On comprend que ce professionnel vigilant ait été particulièrement attentif à l’émergence du phénomène des lanceurs d’alertes. Les Snowden, Falciani, Frachon et autres Julian Assange ont ouvert la voie à davantage de transparence et contribué à libérer la parole dans tous les versants de la société. Certes, leurs motivations sont diverses, nourries par un réel souci de l’intérêt général, mais aussi quelquefois par des ressorts plus personnels. Cependant, toutes ces raisons, bonnes ou moins bonnes, ont un objectif commun: assainir une société corrompue dont ils ne veulent plus être les complices. Mais que dit la loi? Dans quel cadre juridique s’insèrent ces lanceurs d’alertes? Voici donc, pour la première fois, le vade-mecum qui permettra d’accompagner ce nouveau mouvement citoyen.
 
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